VIDÉO. Ophélie, 29 ans, a le syndrome des ovaires polykistiques. Avec son association, elle souhaite que sa pathologie soit reconnue.
Ophélie, atteinte d’une maladie invisible et non reconnue par les professionnels de santé, aimerait faire bouger les choses en sensibilisant dessus.
J’ai appris à cohabiter avec ma maladie.
À présent, Ophélie considère que son rapport à la maladie est tourné positif. Sa maladie fait partie de son quotidien mais elle ne se définit pas pour autant que par elle.
Je me sens un peu plus sereine.
Vis-à-vis de sa maladie, Ophélie se sent plus sereine grâce à sa rencontre avec des professionnels de santé qui lui ont fait retrouver de l’espoir. Elle a aussi adopté un mode vie moins stressant et en accord avec sa maladie.
Cette pathologie n’est pas du tout reconnue.
Ophélie affirme que le syndrome des ovaires polykistiques n’est pas une pathologie reconnue par les professionnels de santé. C’est pourquoi elle a décidé, avec son amie Caroline, de fonder l’association Asso’SOPK dans laquelle elles s’occupent de campagnes de sensibilisation autour de cette maladie.
Ne restez pas seules !
Ophélie conseille aux femmes atteintes de ce syndrome de ne pas rester seules mais surtout de se diriger vers des associations comme la sienne et de rechercher des professionnels de santé qui sont formés sur le sujet.
Découvrez son témoignage ci-dessous: