ENDOMÉTRIOSE. La lutte sans relâche de Camille.

VIDÉO. Après avoir été suivie pendant de nombreuses années pour la mauvaise pathologie, Camille a finalement été diagnostiquée d’endométriose. Elle nous a raconté son histoire, et comment elle est parvenue à vivre avec les douleurs liées à l’endométriose grâce à la micro-nutrition.

Peux-tu nous raconter comment s’est passé ton diagnostic ?

Camille : Je suis diagnostiquée d’endométriose depuis plus de dix ans, j’ai commencé à avoir des douleurs invalidantes, ou à me dire que j’avais un problème de santé lorsque j’étais au tout début de mes études. Ça se manifestait par des crises digestives et j’ai été orientée vers un gastro-entérologue. Pendant près de quatre ans, j’ai été suivie pour une maladie de Crohn au vu des symptômes cliniques que j’avais, ça faisait penser à une maladie de Crohn. Sauf que les crises ont continué et se sont accélérées alors que j’étais sous traitement. J’ai donc fait une IRM et c’est là que j’ai appris que j’avais de l’endométriose.

Comment es-tu parvenu à gérer tes douleurs liées à l’endométriose ?

Camille : J’ai rencontré une dizaine de gynécologues pour essayer de trouver des personnes capables de m’aider à gérer mes douleurs chroniques. J’ai finalement été prise en charge par un médecin de la douleur. Et là, en fait, on m’a expliqué que seule une prise en charge globale avec des soins de support allait avoir un impact sur ma qualité de vie. Si je ne revoyais pas mon hygiène de vie, rien n’allait changer.

Comment la micro-nutrition t’a aidé ?

Camille : Quand j’ai rencontré ce médecin de la douleur, elle m’a parlé de cette prise en charge globale et elle m’a expliqué que ça pourrait être intéressant que je rencontre une micro-nutritionniste. C’est ce que j’ai fait et donc j’ai découvert la micro-nutrition, Je m’étais déjà beaucoup intéressée aux liens entre l’endométriose et le microbiote. Et la micro-nutrition ça m’a personnellement énormément aidée, j’ai envie de le faire découvrir et le démocratiser pour toutes les patientes, et c’est comme ça qu’est venue l’idée de Gyneika.

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