VIDÉO. Barbara Mvogoh a 37 ans. Comme souvent, elle a été diagnostiquée tardivement d’une endométriose. Aujourd’hui handicapée par sa maladie, elle décide de monter l’association « Justice endométriose » afin de lutter contre la désinformation et les discriminations du quotidien liées aux séquelles invisibles de la pathologie.
Comment avez-vous décidé de combattre cette maladie ?
Barbara : J’ai fait des certifications en naturopathie, en médecine douce, en huiles essentielles, en méditation… Ces formations, je les ai faites à la fois pour moi, pour apprendre ce qui pouvait m’aider, mais également pour aider les autres. Et c’est comme ça que je suis également devenue coach de vie, notamment aux États-Unis.
Qu’est-ce qui est à l’origine de votre projet « Justice endométriose » ?
Barbara : À un moment donné de ma vie, je me suis dit que les autres personnes qui sont atteintes d’endométriose avaient aussi ce besoin d’informations, notamment au niveau de leurs droits. Grâce à cette réflexion, cette association existe depuis Juin 2022 et je crois qu’on arrive à fédérer en France, ce qui est plutôt rare sur ce sujet !
Qu’est-ce que vous auriez à dire aux personnes atteintes d’endométriose ?
Barbara : Vous n’êtes pas seul.e.s. Nous sommes des millions dans cette situation. Pour chacun.e d’entre nous, il y a déjà des améliorations. Il y a des moyens pour aller mieux. Et oui, on peut s’en sortir.
Découvrez son témoignage ci-dessous :