MOBILISATION. J’ai testé pour vous : Le stage d’IF #4

JOUR 4 :

Rendez-vous avec Odile, l’infirmière d’éducation du service « diabéto » de l’hôpital Saint Joseph, à Paris. Au programme : présentation du nouveau matériel à disposition des diabétiques.
La pompe à insuline se retrouve rapidement au centre des discussions. Christophe est un utilisateur convaincu ! « J’ai presque oublié que j’étais diabétique avec la pompe, notamment en faisant du sport », explique-t-il.
Odile propose à Inès et Fanny de leur poser la pompe, « juste pour tester ». Seule Inès accepte.

Test du matériel pour diabétique Inès teste la pompe à insuline

La journée se poursuit avec divers ateliers, des conseils autour de l’activité sportive. Quelle dose d’insuline faire et quand ?
Mais aussi comment gérer les hypoglycémies. Quels sont les symptômes ? Que faut-il faire ? Chacun trouvera des réponses à ses questions.

Les doses d’insuline sont encore une fois réajustées et la journée touche à sa fin.

Odile, l’infirmière d’éducation du service « diabéto » de l’hôpital Saint Joseph, à Paris

Inès enlève la pompe à insuline, elle ne se sent pas encore prête : « Je sais qu’elle peut me permettre d’avoir un diabète équilibré mais je ne me sens pas libre avec. Avoir un catheter attaché à mon corps me dérange. Et j’arrive à m’en sortir avec les stylos à insuline ».

Fanny repart du stage « avec une ordonnance ultra complète ». Ses doses d’insuline ont radicalement changé entre le début et la fin du stage. Elle n’est toujours pas convaincue par la pompe à insuline mais elle apprécié le programme de ces 4 jours :

 C’était bien construit et très complet, le niveau des cours était adapté à nos vécus personnels, ce qui est appréciable. Nous avons pu aborder tous les sujets phares en un laps de temps court.

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Du côté d’Inès, sa dose d’insuline lente a bien baissé depuis le début du stage mais, pour les rapides, elle continue à faire des essais : « Ce n’est pas encore fini mais je suis presque arrivée à avoir les bonnes doses d’insuline. Surtout, je me sens maintenant capable de connaître la quantité de glucides dans mon repas sans utiliser ma balance. J’essaie de faire les calculs avec une cuillère ».

« De toute façon le travail n’est pas terminé, conclut Odile, pour les glucides comme pour les doses d’insuline, on s’approche au maximum de la vérité mais désormais chacun à les clés pour pouvoir s’adapter ».

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